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Livre en consultations


La forteresse vide

Laurie, Marcia et Joey, le petit garçon <<mécanique>> : trois enfants autistiques enfermés dans leur forteresse vide, figés dans leur mutisme et leur monde fantastique. Trois enfants parmi d'autres qui sont tenus pour incurables, avec lesquels Bruno BETTELHEIM et sont équipe ont tenté d'entrer en communication - on verra au prix de quels efforts et de quels aléas. C'est donc moins l'histoire de cas qui nous est ici rapportée que celle d'une aventure méthodique : la recherche patiente et passionnée d'une rencontre, là où l'importance de ce que l'on appelle trop vite la régression paraît l'interdir à jamais.

On trouvera, encadrant ces trois bouleversantes observations illustrées de dessins et de photographies, une analyse critique de la littérature psychiatrique sur l'autisme infantile, l'exposé des vues théoriques de l'auteur sur la constitution du <<soi>> et une discussion du mythe des enfants sauvages....

Connaissance de l'inconscient

Bruno BETTELHEIM

Les enfants d'abord

Il parâit naturel de leur interdire toute vie privée et de leur imposer une façon de sentir. De décider qui ils doivent aimer et qu'il il ne faut pas voir. De circonscrire leurs déplacements et de pénaliser leurs déviances. De déterminer le moment où ils ont un sexe, et ce qu'ils doivent en faire. Est-aussi naturel qu'on dit, ou est-ce l'effet d'un rapport social, imposé par l'adulte parce qu'il a la force et le pouvoir ?

S'il en est ainsi, pourquoi et à quelles fins ? Que fait-on aujourd'hui des enfants et à quoi les prépare-t-on ?

Qu'est-ce au juste qu'un enfant dans nos sociétés dites libérales ? C'est à ces questions que répond Christiane ROCHEFORT, dans cet essai fièvreux, passionné, aux frontières de l'analyse et du pamphlet, qui se lira comme le prolongement d 'Encore heureux qu'on va vers l'été...

Après le roman l'analyse : les enfants d'abord parce que c'est eux les premières victimes de l'ordre capitaliste ; parce qu'il faut des adultes dociles et qu'il faut les former au plus tôt ; parce qu'il faut au Pouvoir un relais, qu'il trouve très naturellement dans la famille.


Christiane ROCHEFORT

Travail social et méthodes d'enquête sociologique

Qu'ils soient professionnels ou non, les prétiques de l'Action Sociale sont de plus en plus contraintes, pour être efficients, de rechercher les causes réelles des situations qu'ils rencontrent. Aussi se tournent-ils vers la sociologie dans l'espoir d'être éclairés sur les responsabilités à prendre dans les lieux mêmes où ils exercent, dans les localités où ils vivent.

Les informations nécessaires pour saisir ce qui se passe sur un lieu géographique donné n'existent que très rarement dans les milieux de l'Action Sociale. L'auteur, se fondant sur dix ans de recherches et de collaborations avec des assistants sociaux, des animateurs, des éducateurs, et surtout avec les militants des Centres d'Etudes et d'Action Sociale (C.E.A.S.), propose dans cet ouvrage quelques méthodes simples de compréhension des situations.

Mais comprendre la vie collective est une chose, agir sur elle en est une autre. Est-il possible d'utiliser la sociologie sans être progressivement amenè à définir l'action responsable que l'on veut promouvoir parmi toutes les forces qui façonnent la vie sociale ?

Telle est, au delà des données méthodologiques utiles, la question que ce livre souhaite faire prendre en considération.


André NISON

Les exclus

Deux millions de handicapés physiques et mentaux, plus d'un million de personne âgées invalides, trois à quatre millions d'inadaptés sociaux.

Soigner, guérir, mais surtout prévenir.

Le livre de René LENOIR, actuellement secrétaire d'État à l'Action Sociale, a en un an imposé le problème à l'opinion publique et ajouté une expression au vocabulaire courant : les exclus.

René LENOIR

47 ans, Inspecteur des Finances. A passé sept ans comme conseiller technique des gouvernements africains et quinze à étudier, à Paris et en province, les rouages de la société française. Est depuis 1974 secrétaire d'État à l'Action sociale.

René LENOIR

Les rites d'intercation - Collection "LE SENS COMMUN".

La vie sociale est un théâtre, mais un théâtre particulièrement dangereux. A ne pas marquer la déférence qu'exige son rôle, à se tenir mal, à trop se détacher des autres comédiens, l'acteur, ici, court de grands risques.

Celui, d'abord, de perdre la face ; et peut-être même la liberté : les hôpitaux psychiatriques sont là pour accueillir ceux qui s'écartent du texte.

Il arrive ainsi que la pièce prenne l'allure d'un drame plein de fatalité et d'action, où l'acteur-acrobate - sportif, flambeur ou criminel - se doit et nous doit de travailler sans filet.

Et les spectateurs d'applaudir, puis de retourner à leurs comédies quotidiennes, satisfaits d'avoir vu incarné un instant, resplendissant dans sa rareté, la morale toujours sauve qui les soutient.

Erving GOFFMAN

Le développement de la personne

La lecture de cet ouvrage nous donne une impression de richesse extraordinaire et pourtant il ne parle que de choses simples, il pourrait même se résumer en un seul verbe : "être" ! Il s'agit d'une redécouverte de l'expérience en tant que telle, de l'instant qui passe pleinement vécu, de la rencontre de l'autre et de l'autre qui vous rencontre, avec toutes les dimensions qu'un tel phénomène peut prendre.

ROGERS s'est intéressé à tous les genres de relations d'aide, c'est-à-dire à toute situation dans laquelle l'un des participants cherche à favoriser chez l'une ou l'autre partie ou chez les deux une appréciation plus grande des ressources latentes internes de l'individu, ainsi qu'une plus grande possibilité d'expression et un meilleur usage fonctionnel de ces ressources.

Georgette LORENZ - Action et pensée.

ROGERS est sans conteste un novateur, et ce aussi bien sur le plan de la théorie de la Personnalité, des méthodes thérapeutiques, que sur le plan de l'épistémologie.

Cet ouvrage mettant l'accent sur les différentes formes de communication entre les hommes, nous ne saurions trop en conseiller la lecture à tous ceux qui s'intéressent aux problèmes des relations humaines.

Pierre TAP - Bulletin de l'Université de Toulouse.

Carl r. ROGERS

Education et Sociologie - Quadrige / Presses Universitaires de France

En résumé, bien loin que l'éducation ait pour objet unique ou principal l'individu et ses intérêts, elle est avant tout le moyen par lequel la société renouvelle perpétuellement les conditions de sa propre existence.

La société ne peut vivre que s'il existe entre ses memebres une suffisante homogénéité. L'éduction perpétue et enforce cette homogénéité en fixant d'avance dans l'âme de l'enfant des similitudes essentielles que suppose la vie collective. Mais d'un autre côté, sans une certaine diversité, toute coopération serait impossible.

L'éducation assure la persistance de cette diversité nécessaire en se diversifiant elle-même et en se spécialisant. Elle consiste donc, sous l'un ou l'autre de ses aspects, en une socialisation méthodique de la jeune génération.

Emile DURKHEIM

Guide à la petite enfance 0-6 Mois - N° 1

Les savoirs essentiels pour réusir l'enfance de la vie.

- La grossesse

- L'Accouchement

- L'Alimentation

- La Relation

- La Santé

- L'Éducation

- L'Apprentissage

CRÉATIF-Line

Vieillir : l'avancée en âge - N° 88 - 2000 - 2 exemplaires

  • Et la vie continue... entre prévoyance et insouciance
  • Expérience de la vieillesse et formes du vieillir
  • La mutation des âges
  • Objets quotidiens, nouveautés techniques et vieillissement
  • La presse des seniors
  • Allongement de la durée de vie : enjeux économiques et politiques
  • Enjeu
  • OCDE : la question des retraites, un point de vue comparatif
  • Recherche - objets et affirmation de soi
  • France, Japon : activité ou inactivité en fin de carrière ?
  • Guadeloupe : les "grandes personnes"
  • Mourir vieux et en bonne santé...
  • La pensée de...
  • Vivre en maison de retraite, mais vivre...
  • Des retraités dans la cité
  • Écrire sa vieillesse - autobiographie du grand âge
  • En contrepoints...
  • Le social en recherche
CNAF

Les larmes du silence

Avec les larmes du silence, Isabelle BREMER-ALIX écrit un premier livre, qui s'adress à toutes les familles, à tous les couples, à tous les parents.

C'est le cri d'une petite fille devenue adulte toute seule, malgré une enfance volée.

Isabelle serait-elle née sous une mauvaise étoile ? Sinon pourquoi est-elle seule à subir une vindicte maternelle toujours renouvelée et jamais explicitée. Ces "larmes du silence" devaient se faire entendre un jour,puisse chacun prêter l'oreille...


Isabelle BREMER-ALIX

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